Que nos natures soient impossibles à saisir, et puissions-nous en refléter l’éclat, levant régulièrement dans la chaleur telle la pâte à pain. Que notre magie soit mystérieuse et pragmatique, et puissions-nous orbiter les uns autour des autres dans une chorégraphie céleste indéchiffrable. Puissions-nous prendre soin les uns des autres, et nous abandonner à notre appartenance consciente à la Terre, et puissions-nous cesser de prétendre posséder, amasser ou définir. Nous sommes sauvages et libres – à l’image de la vie. Sauvages et libres. Que ce qui est humain et ce qui en nous procède de la terre deviennent dignes de confiance et mis en avant.

Selon les mots de ma cousine bien-aimée, Noa Grayevsky

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